My summer in pantyhose - FR - 18

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Translation in french with permission of the author (Jeremy Chandler) by anonymous

Chapter 18

Je sortis de la douche et remarquais combien mes jambes fraichement rasées étaient douces et belles, tandis que j'étais entrain de les essuyer. Toute la journée j’avais pensé avec joie á  la soirée qui m’attendait. J’aurais aimé appeler Megan ou lui envoyer un mail mais finalement je résistais á  la tentation. Je ne voulais pas devenir ennuyeux aussi mais j’avais cet étrange peur qu’elle ait oublié la soirée barbecue et que nous arrivions chez elle pour apprendre qu’elle était sortie avec des amies.

 « Jamie, appela ma má¨re, je t’ai mis des habits sur le lit  ».

Sur mon lit je trouvais une paire de collants Sheer Energy de couleur chair avec le pantacourt s’arráªtant juste au dessus des genoux et le bustier jaune que ma má¨re avait acheté pour moi chez Mohls. Normalement j’aurais du protester mais l’excitation de sortir avec Megan passait par dessus tout et j’étais confiant sur le fait qu’elle ne se préocuperait pas de ce que je portais. Je déboulais dans les escaliers et trouvais Maman et Julie entrain d’attendre dans le salon. Elles portaient toutes les deux une robe d’été légá¨re. Celle de Julie était légá¨rement plus courte. Je remarquais cependant que ni ma má¨re ni ma sÅ“ur, n’avaient leurs jambes gainées de nylon et le plus drá´le de la situation c’était que parmi nous trois, moi seul, le garçon, portait des collants. Ma má¨re me demanda d’attraper la salade composée au frigidaire. Maman et Julie assises devant, nous nous má®mes en route pour prendre Samantha et Megan.

 « T’as eu des nouvelles de Megan  » ? demanda Julie.

 « Non, rien. J’espá¨re qu’elle n’a pas oublié  ».

Maman rit en entendant cette éventualité. Julie n’avait parlé á  personne á  propos de l’incident au centre commercial.

 « Je ne pense pas qu’elle ait oublié  » répondit Julie, de maniá¨re rassurante. La question qu’elle se posait, en fait, était de savoir si Megan était rentrée chez elle et ce qu’elle avait bien pu faire, la nuit d’avant.

* * * * *

Megan était assise dans son salon, entrain d’attendre la famille de Jamie, penchée pour ajuster la couture de pointe de son collant chair.

 « Il me semble ne jamais t’avoir vu sans que tu ne portes de collants, ces jours-ci  » lui dit sa má¨re en rentrant dans la piá¨ce, tout en s’asseyant en face de sa fille.

 « J’aime en porter, Jamie en porte, donc je mets un point d’honneur á  porter des collants, en sa présence  ».

Sa má¨re sourit en acquiessa.

 « As-tu passé une bonne journée  » ? demanda Megan.

La má¨re de Megan lui parla du succá¨s de son Å“uvre de charité puis demanda á  Megan comment s’était passé son rendez-vous de la veille.

 « ça a été  » ! répondit Megan.

 « ça a juste été  » ?

 « Je pense que Josh veut des choses de moi que je ne suis pas práªte á  lui donner  ».

 « Oh ! Je suis impressionnée que tu ais su te retenir et je suis déçue de Josh. Il semble áªtre un garçon si classe et si gentil  ».

 « Il s’est comporté en gentleman. Enfin, la plupart du temps. Mais je ne me sens pas á  l’aise avec lui  ».

 « Mais tu te sens á  l’aise avec Jamie  ».

 « Oh oui  » !

 « Oui, je pense que tu n’as pas á  t’inquiéter que Jamie essaye de prendre ce genre de liberté  ».

 « Oh non. Il est si doux  » !

 « On peut dire ça comme ça effectivement  ».

Megan comprit oá¹ sa má¨re voulait en venir :  « Tu n’avais pas dit qu’il fallait áªtre gentil et tolérant ? Pourquoi ne l’aimes-tu pas  » ?

 « Ce n’est pas que je ne l’aime pas. Je suis sure qu’il est un ami merveilleux pour toi, mais veux-tu vraiment qu’il devienne ton petit ami ? Il n’est pas exactement le type de garçon avec qui les filles aimeraient avoir un rendez-vous. Tu pourrais trouver mieux  ».

 « Il n’est pas mon petit ami. Nous sommes juste amis  ».

 « Ce n’est pas ce qu’il semble penser. C’est tellement évident de voir comment il est sur son nuage quand il est avec toi  ».

Megan savait que sa má¨re avait raison. Si Jamie n’était pas amoureux d’elle, il avait des vues évidentes mais elle l’aimait bien. Elle ne voulait pas blesser ses sentiments. Mais n’était-il vraiment que juste un ami ? Il n’était certainement pas le type de petit ami que ses copines aimeraient avoir. Aucun espoir qu’il soit assorti avec ses copines et leurs mecs. Les autres garçons allaient lui taper dessus. Pourquoi se sentait-elle si protectrice envers lui et pourquoi pensait-elle á  lui tout le temps ? Megan était assez confuse de ses refláªxions.

Une voiture arriva dans l’allée, sauvant Megan de la discussion avec sa má¨re. Jamie bondit de la voiture et s’approcha de la maison. La má¨re de Megan nota le pantacourt, les sandales et le bustier et roula des yeux.

 « Passe une bonne soirée  » ! lui dit-elle.

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Megan ouvrit la porte avant que je ne puisse frapper. Je remarquais immédiatement son short denim serré s’arráªtant á  mi-cuisses, ainsi que le nylon brillant qui lui gainait les jambes.

 « Finalement je ne serai pas la seule personne á  áªtre en collants  ». me dis-je. Nous nous dá®mes bonjour puis partá®mes vers la voiture. Je me sentais pris d’un énorme sentiment de fierté.

******

Depuis une fenáªtre de l’étage, Melissa et Carla regardaient Jamie tenir la porte de la voiture pour Megan.

 « Quelle chochotte, dit Melissa, il porte un pantacourt et un bustier  ».

Carla se mit á  rire :  « Et je suis sure qu’il pense áªtre un gentleman á  tenir la porte pour elle  ».

 « Oh ! un chevalier servant en collants fins et brillants  ». Les deux filles s’étranglá¨rent de rire :  « Ca va áªtre tellement drá´le  » ! dit Melissa.

******

Je regardais Megan s’assoir sur le siá¨ge arriá¨re, mes yeux fixés sur ses jambes qui brillaient un peu lorsque le soleil se reflétait sur le nylon. Megan me sourit gentiment, ayant eu l’air d’apprécier le geste, tandis que je refermais la porte.

Alors que je contournais la voiture pour venir m’asseoir de l’autre coté, je remarquais que mes jambes brillaient de la máªme maniá¨re que celles de Megan.

Aprá¨s que je fus installé et que Maman passait la marche arriá¨re, Julie se retourna et demanda :  « Alors Megan, tu t’es bien amusée hier soir  » ?

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Narrateur : Megan espéra que Jamie ne perçoive pas sa nervosité.  « Est-il au courant  » ? se demanda-t-elle. Elle essaya d’áªtre aussi imprécise que possible sans que ses réponses semblent trop évasives

********

Elle répondit çá  Julie :  « Ca allait ! Je me suis cependant vite ennuyée et je suis rentrée tá´t á  la maison  ».

 « Ah vraiment  » ! releva Julie, ne cachant pas le doute dans sa voix.

 « Tu as vu Megan hier soir  » ? demandais-je.

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Narrateur : De son coté, Megan était soulagée. Finalement Julie n’avait rien dit á  Jamie et maintenant elle avait une chance d’éluder l’incident.

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 « Sam et moi l’avons vue hier soir … au centre commercial ….avec quelques amis  » me répondit-elle

Je me sentais partagé entre le fait de vouloir en savoir plus et ne rien savoir du tout.

******

Narrateur : Megan de son coté pensait que moins elle en disait, mieux c’était. Julie ne voulait pas ruiner la soirée pour son frá¨re, mais elle savait qu’elle était arrivée á  embarrasser fortement Megan. Elle avait prévu de parler á  Megan en privé durant la soirée. Personne ne devait prendre son petit frá¨re pour un idiot. Dans un moment de réflexion, Julie réalisa qu’elle ne s’était jamais senti aussi protectrice envers son frá¨re. Elle avait toujours eu l’habitude de le considérer comme le petit gamin ennuyeux, mais depuis qu’il avait commencé á  porter des collants, elle se sentait plus proche de lui. Il était vulnérable désormais et elle pensait qu’il lui fallait la protection d’une grande sÅ“ur. Peut-áªtre se demanda-t-elle qu’il était aussi temps de lui confier quelques uns de ses secrets á  elle.

*******

 « C’est assurément un temps magnifique pour cette soirée  » commenta ma má¨re. Tout le monde fut d’accord et ceci fit retomber la tension et la conversation s’orienta sur la soirée barbecue. Lorsque nous stoppá¢mes pour récupérer Samantha, je fis un sourire embarassé á  Megan. J’avais envie de lui dire combien j’aimais comment elle était habillée et qu’il me semblait que nous portions la máªme marque et la máªme teinte de collants, mais j’étais trá¨s embarrassé de le dire devant ma má¨re. Je n’avais pas non plus envie de me poser de questions sur ce mystá¨re de Megan vue au centre commercial et je chassais ça de mon esprit. Megan était ici avec moi et c’était tout ce qui comptait pour moi. Ma má¨re demanda des nouvelles de sa má¨re á  Megan et oá¹ est-ce qu’elle en était dans son Å“uvre de charité. Lorsque Samantha entra á  son tour dans la voiture et s’assit sur le siá¨ge arriá¨re, et je me retrouvais coincé ainsi en sandwich entre deux filles. Je remarquais sa jupe courte, ses sandales á  petits talons et son collant chair. Samantha fit glisser sa main sur sa cuisse gainée de nylon et me fit un clin d’Å“il qui me fit rougir. Les trois personnes assises á  l’arriá¨re et dont je faisais partie, avaient leurs jambes gainées de nylon transparent.

 « Salut Megan, dit-elle, il semblerait qu’on se voit tous les jours en ce moment  ».

Megan opina de la táªte, gáªnée.

 « Comment ça se passe á  l’usine de tissus  » ? me demanda Samantha.

Je lui fit part des évá¨nements récents. Megan et Samantha rirent ensemble de l’incident des perles.

 « Cette Kelly a l’air horriblement méchante, dit Megan. Peut-áªtre que je devrais venir voir un jour oá¹ tu bosses  ».

 « Tu le ferais  » ? répondis-je. L’idée de présenter Megan á  toutes les personnes avec qui je travaillais était exhaltante.

 « Je travaille habituellement dans la sale de stockage. Peut-áªtre qu’elle arráªtera si elle voit que j’ai une petite copine  ».

Ensemble, Samantha et Julie regardá¨rent Megan, attendant impatiemment sa réponse aux derniers mots que je venais de prononcer, et elle en fut bien consciente.

 « C’est sur, je passerai. Si bien sur je ne te cause pas d’ennuis. Ta patronne n’a pas vraiment l’air commode  ».

 « Je pense que ça devrait aller. Surtout si tu viens acheter quelque chose  ».

 « Par contre, cette Tabitah semble adorable  » dit Samantha insistante, en levant ses yeux marrons vers Megan.

Je répondis qu’effectivement elle était adorable et je racontais tout ce que je savais sur elle.

******

Narrateur : Megan en ressentit un pincement de jalousie. Si elle voulait áªtre honnáªte avec elle-máªme, elle devait bien admettre qu’elle n’avait jamais envisagé la possibilité qu’une autre fille puisse apprécier Jamie. Et était-elle sa petite amie ? Tout le monde semblait y croire, mais elle n’était surement pas sa petite amie au moment oá¹ elle était assise sur les genoux de Josh, la veille, á  la cafétaria du centre commercial. Ou du moins certainement pas une bonne petite amie. Effectivement elle décida qu’il serait préférable qu’elle aille voir Jamie á  son travail pour voir á  quoi ressemblait cette Tabitah.

******

Lorsque nous arrivá¢mes á  North’s house, ma má¨re me demanda de porter la salade composée. Deux voitures et un minivan étaient déjá  dans l’allée et les places sur la rue étaient aussi occupées. Apparemment ça allait áªtre une soirée pleine de monde. Ma má¨re ouvrit le chemin, suivie de Julie et Samantha tandis que Megan et moi marchions en retrait.

Julie et Samantha discutaient et je pensais que j’étais assez loin de ma má¨re, pour qu’elle puisse m’entendre.

 « J’adore comment tu es habillée, dis-je á  Megan. Tu es trá¨s mignonne  ».

 « Merci ! répondit-elle, tu n’es pas mal non plus  ».

 « Merci aussi de porter des collants. Je me sens moins seul ainsi  ».

Megan se mit á  rire :  « Je pense que ça nous convient bien á  tous les deux. Je n’aime pas ne pas en porter en ta présence. Il me semble que nous portons des collants de la máªme marque et nous sommes assortis aussi pour la teinte  ».

 « Tu ne penses pas que ce pantacourt fais ridicule, dis-moi  » ?

 « Pas du tout. J’ai déjá  vu des pantacourts pour homme dans des magasins. C’est de lá  d’oá¹ vient le tiens  » ?

 « Non, Maman me les a acheté au rayon junior  ».

 « Ils te vont vraiment bien  » !

Alors que nous approchions sur l’allée du garage, nous pouvions entendre plusieurs conversations. J’étais content qu’il y ait autant de gens. Je pensait que je devais me mettre moins en vue et en fait, tout ce qui importait pour moi était d’áªtre avec Megan. Megan et moi suivimes ma má¨re qui elle cherchait Carla pour savoir quoi faire de la salade composée.

 « Sarah, je suis si contente que tu aies pu venir  » dit Carla.

 « On en avait tous trá¨s envie  » répondit ma má¨re.  « J’ai amené une salade composée et me demandais ce que je devais faire avec  ».

 « Oh, je m’en charge  » dit Carla tout en s’approchant de moi. Je remarquais son rapide coup d’Å“il en direction de mes jambes et de mes sandales ouvertes aux orteils. Elle me sourit et releva ses yeux marrons tout en prenant le saladier :

 « Et donc lá  c’est Julie  » ? demanda-t-elle en voyant Megan.

 « Pas du tout. C’est l’amie de Jamie, Megan. Je ne sais pas oá¹ est allée Julie  ». répondit ma má¨re.

 « Oh vraiment ! dit Carla visiblement surprise, heureuse de te rencontrer Megan  ».

Megan sourit et répondit courtoisement á  Carla.

Megan me dit alors :  « Allons-y Jamie. Allons chercher de quoi manger. Ca sent si bon  ».

Alors que nous traversions la cour, ma main passa inopinément contre celle de Megan. Je la saisis et Megan á  son tour serra ma main en souriant. Nous nous arrá¨tá¢mes á  la fin de la queue pour les sandwichs de grillades.

 « J’espá¨re que tu n’as pas trop faim  » dis-je, tout en regrettant d’avoir dit ça tellment ça semblait nul.

 « Oui effectivement, il semble que nous devions attendre. Pourquoi ne ferez tu pas la queue, tandis que je vais nous chercher quelque chose á  boire  » ?

Je lui dis que j’étais d’accord et la regardais s’éloigner, tout en admirant ses jolies formes.

J’entendis rigoler derriá¨re moi et me retournais pour découvrir Beth, la fille de Carla, et une autre fille qui me regardaient.

 « Tu vois, je te l’ais dit  » disais Beth á  sa copine.

L’autre fille me regarda directement et dit :  « Ce nylon sur tes jambes, ça fait tellement sexy  ». Les deux filles éclatá¨rent de rire. Je remarquais des gens faisant la queue, qui se mettaient á  regarder pour voir qu’est-ce qui pouvait áªtre si drá´le.

 « Ce sont les pantacourts que ta má¨re t’as acheté  » ? demanda Beth.

Je ne savais pas s’il me fallit répondre ou bien les ignorer. Chacune de ces options pouvant déclencher encore plus de moqueries.

 « Tu as mangé ta langue  » ? demanda l’autre fille.

 « Hé Jamie, je t’ai pris de la biá¨re  » ! Je fus extrá¨mement soulagé en entendant la voix de Megan. Je la remerciais en prenant le gobelet en plastique de ses mains et remarquais qu’elle avait pris de la limonade pour elle.

 «Les filles rigolá¨rent á  nouveau :  « Le petit Jamie a grandi, il boit de la biá¨re  ». dit Beth á  sa copine.

Megan fronça les sourcils en regardant ces deux idiotes :  « Est-ce que ces filles t’ennuient Jamie  » ?

 « J’essaye de les ignorer  ».

 « Pourquoi n’allez vous donc pas voir ailleurs les filles. Je vois que la balançoire pour bébé est libre maintenant, si vous l’attendiez  ».

 « Trá¨s drá´le Julie , rétorqua Beth. Tu n’as pas á  me dire ce que j’ai á  faire. C’est la réception de ma má¨re  ».

 « Julie ? Je ne suis pas Julie. Je m’appelle Megan  ». Megan fit une pause et placa son bras autour de ma taille :  « Je suis la petite amie de Jamie  ».

J’écarquillais les yeux en regardant Megan qui me souriait. Je passais mon gobelet dans l’autre main et passait mon bras autour des hanches de Megan. Ma main se posa sur sa hanche te je sentis la ceinture élastique de ses collants á  travers le tissu de son chemisier. Je réalisais en máªme temps que sa main á  elle était carrément posée sur l’élastique de ceinture de mes collants.

Beth et sa copine nous regardá¨rent avec de grands yeux et bouches bées :  « Tu es sa petite amie  » ? demanda Beth.

 « C’est ce que je viens de te dire  » !

 « T’as remarqué qu’il porte des collants  » ?

 « Ben oui, moi aussi  » ! répondit Megan en levant son pied déchaussé devant elles.  « Et alors quoi ? Je suppose que vous áªtes encore trop gamines pour avoir le droit de porter des collants. En seriez-vous jalouses  » ?

Je remarquais une femme entre deux ages, faisant aussi la queue derriá¨re elles, souriante mais surement pliée de rire intérieurement. J’étais carrément épaté de l’aptitude magistrale qu’avait eu Megan pour retourner les moqueries désagréables des gamines en leur retournant directement des fláªches qui tapá¨rent lá  oá¹ ça leur faisait mal.

Beth roula des yeux puis regarda Megan comme si elle attendait que Megan l’enfonce un peu plus pour asseoir sa victoire.

 « Allez viens  » ! dit-elle á  sa copine.

 « Vous leur avez bien cloué le bec  » dit la femme derriá¨re elles.

 « Merci ! répondit Megan, j’ai une petite sÅ“ur alors j’ai de l’entrainement  ».

La femme acquiessa. Regardant alors mes jambes la femme demanda :  « Vous en portez pour des raisons médicales  » ?

 « Non, absolument pas, dis-je, j’aime simplement la sensation qu’ils me procurent  ».

Megan serra ma hanche encore plus fort.

 « C’est bien pour vous. Vous avez de trá¨s jolies jambes. Cela vous va bien  ».

Je la remerciais.

Puis s’adressant á  Megan, elle lui proposa son aide á  propos de Beth :  « Je connais bien la má¨re de cette gamine. Je suis persuadée qu’elle aurait été trá¨s choquée du comportement de sa fille. Je peux lui en parler si vous voulez  ».

 « C’est trá¨s aimable á  vous, répondit Megan, mais je pense que cela ne sera pas nécéssaire. Je pense qu’elle va nous laisser en paix  ».

Je me demandais d’ailleurs si Carla, la má¨re de Beth, aurait été si consternée que ça. Megan laissa retomber son bras alors que nous atteignons la table oá¹ ils donnaient les sandwiches. Je n’avais pas envie d’enlever ma main.J’avais envie de la laisser pour toujours sur la hanche de Megan. Honnáªtement j’avais trá¨s peur de ne plus jamais pouvoir la remettre oá¹ elle était. Qu’attendait Megan exactement á  ce moment lá  ? Le pensait-elle vraiment lorsqu’elle avait dit qu’elle était ma petite amie. A contre-cÅ“ur, j’enlevais ma main de sa hanche et laissait retomber mon bras. Je pris sa main. Megan serra ma main et regarda dans le vague en serrant fort ses lá¨vres.

*******

Carla et Melissa étaient assises sur le lit de Melissa, discutant du message que Melissa venait de composer sur son agenda électronique.

 « C’est vraiment cruel ! » dit Carla.

 « Je sais. Tu ne pense pas que j’en ai trop mis ? Je veux que tout le monde y croie !  ».

 « Laisse moi relire  ».

Les deux filles se concentrá¨rent sur l’écran et relurent:

 « Je suis finalement revenue á  la raison. Surement que certains d’entre vous ont entendu des rumeurs que derniá¨rement j’ai passé beaucoup de temps avec Jamie et que lui et moi serions maintenant ensemble. Vous avez aussi surement entendu des rumeurs que Jamie porterait des collants tout le temps sans s’en cacher. Cette derniá¨re rumeur est vraie. Cette petite fille manquée porte tout le temps des collants. J’ai effectivement passé pas mal de temps prá¨s de lui. J’essayais de comprendre ce qui pouvait le faire craquer. Je pense, non, je suis certaine qu’il est tombé désepérément amoureux de moi. Pense-t-il vraiment que je pourrais m’enticher d’un mec éfféminé qui se balade en collants fins ? MDR !!!! Pathétique, c’est le seul mot á  propos de lui mais c’est marrant de le voir me suivre comme un petit chien-chien. La nuit derniá¨re je suis sortie avec Josh et laissez —moi vous dire qu’aucune comparaison n’est possible entre Josh et Jamie. L’un est un vrai mec et l’autre…c’est autre chose. Je ne sais pas quoi exactement mais ça m’amuse en fait. Donc je voulais juste vous informer que je n’ai pas pété un cable. Vous m’avez surement vue trainer avec Jamie. La pauvre fillette a besoin d’un ami ou deux et il est gentil mais c’est vraiment un cas dont je me suis occupée par charité. LOL !! Il me distrait en quelque sorte en attendant mon prochain rendez-vous avec Josh  ».

Les deux filles ricaná¨rent :  « Comment ça va blesser Megan ça ? demanda Carla. Ca semble plus áªtre un truc pour casser Jamie  ».

 « Et comme ça, ça le remettra á  sa place. Tu ne crois pas  » ?

Carla approuva.

 « mais ça blessera aussi Megan et c’est ça qui est génial. Ca la fera paraá®tre froide, manipulatrice et malhonnáªte. Elle fait de Jamie son jouet mais elle veut que ses amies le sachent. Megan s’est toujours vantée de ne pas áªtre une hypocrite. Elle s’en vante tellement qu’elle me dégoá»te. De plus Jamie recevra , disons, accidentellement, le message et ça détruira immédiatement leur relation. Megan passera le reste de l’été á  essayer de rattraper les dégats avec ses amies et Jamie. Mais ses amies se demanderont alors pourquoi Megan voudrait renier tout ça. Il lui faudra alors trouver une bonne explication pour avoir eu un tel comportement. C’est si diabolique  ».

 « Woah ! Tu as vraiment pensé á  tout  » dit Carla, espérant qu’elle n’aurait jamais á  subir le coté obscur de la colá¨re de Melissa.

 « Maintenant, tout ce que avons á  faire, c’est d’attendre le moment propice pour agir. On devra envoyer ça juste au moment oá¹ Melissa rentrera á  la maison et ira dans sa chambre. Comme ça elle ne pourra pas dire qu’elle n’était pas lá  quand le message est parti. Puis ensuite je dois immédiatement me déconnecter de son compte e-mail. Et c’est lá  oá¹ tu rentre en jeu  ».

 « Comment ça  » ? demanda Carla.

 « Tu fera le guet, idiote, et me diras oá¹ Megan se trouve  ».

 « Ok d’accord  » !

Melissa roula des yeux. Pourquoi fallait-t-il que les génies du mal soient toujours entourés d’ahuris ne comprenant rien :

 « Et le plus drá´le c’est qu’elle ne sera máªme pas au courant jusqu’á  ce qu’elle commence á  recevoir des réponses de ses amies  ».

Les deux filles arráªtá¨rent de parler pour éclater de rire.

 « Et en plus, continua Melissa, imagine comment Megan sera confuse si jamais Jamie lit le message avant qu’elle ne soit au courant. Elle essayera de l’appeler mais il sera dévasté  ».

A ces mots, elles éclatá¨rent á  nouveau de rire.

*******

J’étais assis sur un banc avec Megan, entrain de finir notre repas : Sandwiches au bÅ“uf grillé et salade de pommes de terres. Megan me posait des questions á  propos de mon travail, et particuliá¨rement á  propos de Tabitha et de Kelly.

******

Narrateur : Megan se demandait pourquoi des filles étaient extrá¨mement gentilles envers Jamie, et d’autres pouvaient áªtre vraiment méchantes envers lui. La plupart des garçons, surtout ceux un peu geeks comme Jamie, rendaient plutá´t les filles indifférentes. Mais Megan était soulagée que Jamie ne lui pose pas de questions á  propos de la nuit précédente.

Elle était certaine que Jamie ne voudrait pas la croire.

*******

 « Hé ! dit Julie, je vous cherchais vous deux. Maman a besoin de toi pour aider Madame North pour queques trucs á  faire en cuisine  » finit-elle par dire en s’adressant directement á  moi.

 « Mais ce n’est pas nous qui recevons  » ! dis-je en protestant.

 « Tu sais comment est Maman. Tu ferais mieux d’aller voir  ».

 « Ok  » !

 « Je peux aider  » proposa Megan.

 « Non, dit Julie, ma má¨re veut juste Jamie  ».

Je me levais et partis vers la cuisine tandis que Megan regardait Julie, l’air incrédule.

Julie me cria : « Je tiens compagnie á  ta petite copine  » alors que je disparaissais de leurs vues.

********

Megan se demanda ce qui allait se passer tandis que Julie s’asseyait á  coté d’elle et elle croisa ses jambes nylonées. Julie attendit que Jamie soit hors de vue et qu’il ne puisse pas entendre :

 « Alors, commença Julie, tu t’es bien amusée hier soir  » ?

 « Ce que n’est pas ce que tu penses Julie. Je sais que ça pouvait práªter á  confusion mais…  »

 « Tu avais l’air de prendre quand máªme du bon temps, assise sur les cuisses de Josh  ».

 « Ce rendez-vous n’était pas mon idée  ».

 « Vraiment ? surprends-moi  » !

Megan expliqua comment le rendez-vous était arrivé.

 « Tu sembles te faire facilement manipuler par tes amies  ».

 « Je sais que ce fut un vrai désastre. J’avais tout simplement á  dire non  ».

 « Effectivement ! Mais quelle fille pourrait refuser un rendez-vous á  un garçon comme Josh  » ?

 « Exactement  » ! dit Megan avant de réaliser la maladresse de ce qu’elle venait de dire.

 « alors dis moi ce que toi et ton amie avaient fait avec les garçons, apres áªtre partis du centre commercial  » ?

 « Ce ne sont pas tes affaires  » !

 « Mais ce sont les affaires de Jamie  »

 « Nous sommes allées sur un parking prá¨s d’un parc. Je n’ai rien fait. Josh a essayé mais j’ai refusé. Tu ne vas rien dire de tout ça á  Jamie dis-moi  » ?

 « Non ! répondit Julie, je ne pense pas qu’il pourrait le supporter  ».

 « J’étais inquiá¨te qu’il commence á  me poser des questions  ».

 « alors voilá  ce que tu dois retenir : Jamie est fou amoureux de toi. Il est aussi trá¨s doux et trá¨s vulnérable. Si tu le blesses, je ferai de ta vie un enfer. Je ne sais pas encore comment mais je trouverai. Bien compris  » ?

Megan approuva. Julie se leva et partit. Lorsque Megan leva les yeux, elle vit Beth lui faire une grimace et dire :

 « Attends de voir ton petit ami maintenant  » !

*******

Tandis que j’avais laissé Megan entrain de discuter avec Julie, je me retrouvais á  genoux dans la cuisine des North, entrain de remplir un vieux baquet avec de la glace, des bouteilles d’eau et des canettes de soda. Je ne me retournais pas en entendant la porte s’ouvrir pensant que c’était Madame North. Et donc je ne vis pas Beth mettre son doigt sur sa bouche pour faire signe á  sa copine de se taire. Un shaker en métal rempli de punch était posé en équilibre au bord du comptoir, juste derriá¨re moi. Beth le poussa et hurla. Je me tournais juste á  temps pour voir une vague de punch rouge, arriver directement sur moi. Ca tomba sur le bas de mon polo et le haut de mon pantacourt. Je restais choqué, regardant mes habits qui étaient maintenant mouillés et tachés en rouge :  « Mais qu’est-ce que t’as fait  » ?

Beth et sa copine se dépáªchá¨rent á  chercher des serviettes et commencer á  éponger les flaques :  « Je suis désolée Jamie, j’ai renversé le shaker en rentrant  ».

 « C’est un accident  » ! dit la copine de Beth alors que sa má¨re et la mienne rentraient dans la cuisine.

 « Que s’est-il passé  » ? demanda Madame North.

Beth et sa copine répétá¨rent leurs explications tout en continuant á  nettoyer par terre.

 « Ces habits vont áªtre foutus  » dit ma má¨re.

 « Je suis désolé Maman, dis-je, le punch m’est tombé dessus  ».

 « Ca pourrait aller si on les lave immédiatement  » suggéra Madame North.

 « Nous n’avons pas amenés d’habits de rechange  » dit ma má¨re.

 « Oh, on va bien trouver quelque chose á  lui mettre  » répondit Madame North.

Beth sourit á  sa copine et lui fit un clin d’Å“il.

 « Ce serait merveilleux  » dit ma má¨re. On vient juste d’acheter ces habits. C’est la premiá¨re fois qu’il les porte  ».

 « Viens Jamie, me dit Madam North, allons t’enlever ces váªtements mouillés  ». Et elle me fit signe de la suivre.

Je remarquais que non seulement j’étais trá¨s mouillé mais en plus j’avais trá¨s froid dans la maison, á  cause de la climatisation. Je commençais á  suivre Madame North, qui elle n’avait pas d’autre idée que de me faire enlever ces váªtement mouillés. Ma má¨re suivit derriá¨re.

 « Jamie, me dit-elle, enlá¨ve tes chaussures ou tu vas imbiber tout leurs tapis de punch  ». Je me retournais pour constater des flaques de punch partout sur le linoléum, aux endroits de mes pas. J’enlevais mes sandales et suivit Madame North et ma má¨re, marchant juste avec mes pieds gainés de nylon.

Une fois que nous eá»mes quitté la cuisine, Beth et sa copine échangá¨rent un high-five.

Une fois en-haut, Maman et moi entrá¢mes dans la salle de bain tandis que Madame North était parti me chercher des habits de rechange. J’enlevais tout, ne gardant que mes collants. Je n’étais pas trop enthousiaste de faire ça devant ma má¨re.

 « Ne sois pas idiot, me dit-elle. Je t’ai vu nu d’autres fois non ? et puis tu n’es pas vraiment tout nu puisque tu es en collants  ».

Elle me tendit un peignoir de bain sombre et une serviette pour finir de m’essuyer tandis qu’elle commençait á  rincer mes habits dans le lavabo. Je tournais le dos á  ma má¨re tout en finissant de me nettoyer.

Un moment plus tard, madame North frappa á  la porte et tendit quelques habits á  ma má¨re :  « Ce sont quelques habits qui sont trop grands pour Beth. Je pense que les habits de mon mari lui seraient trop grands. Désolée pour la couleur  ».

 « Merci, je pense que ça ira  » répondit ma má¨re.

Lorsque la porte fut refermée, ma má¨re posa les habits sur un tabouret: un t-shirt jaune et un short rose taille basse.  « Ses collants sont-ils aussi mouillés et tachés  » ?demanda Madame North en frappant á  nouveau .

Ma má¨re se retourna pour vérifier :

 « Oui ils le sont. J’ai bien peur Jamie, que l’on soit obligés de laver aussi tes collants  ».

 « Mais qu’est-ce que je vais mettre  » ? demandais-je.

 « Je n’en sais rien. On va essayer de les sécher rapidement  ».

J’enlevais mes collants, remarquant les traces rouges de punch sur la peau de mes jambes. Ma má¨re avait raison, mes collants devaient aussi áªtre lavés. Je tendis mes collants á  ma má¨re qui les mit dans le lavabo, tandis que je continuais á  me laver au gant de toilette, cette fois en étant totalement nu.

Je regardais á  nouveau le t-shirt jaune et le short rose que ma má¨re avait posés sur un tabouret.

 « Maman, je ne peux vraiment pas porter ça  ».

 « Ce qui est sur, c’est que tu ne peux pas porter tes habits  » me dit-elle en me les montrant entrain de tremper dans une lessive dans le lavabo.

 « Je sais qu’ils font trá¨s fille mais tu dois porter quelque chose. On ne va plus rester trá¨s longtemps, tu pourras aller attendre dans la voiture si tu veux  ».

Il y eá»t alors de nouveaux coups á  la porte. Ma má¨re entrouvrit et attrapa quelque chose.

 « Je pense que ça devrait lui aller, mais désolée pour la couleur, c’est tout ce que j’ai  » dit Madame North.

Je tournais alors la táªte pour voir ma má¨re entrain d’examiner un paquet d’emballage plat que je reconnus immédiatement áªtre une paire de collants.

 « Oui je pense qu’ils lui iront. Merci  » ! répondit ma má¨re.

 « Avec plaisir. Il pourra les garder, je les lui donne  » lui répondit Madame North.

 « Bien, dit ma má¨re en se retournant vers moi, tu as de la chance. Il semblerait que les problá¨mes soient résolus. Nous avons des habits et une nouvelle paire de collants pour toi. En plus, tu pourras les garder, ils seront á  toi  ».

 « C’est quel genre de collants  » ? dis-je

 « Des collants de la marque JCPenny. Léger effet anti-fatigue. comme les Leggs que tu portais, mais en plus, gainant en haut. Les femmes plus á¢gées ont un peu besoin de gainer au niveau du ventre  ». Ma má¨re qui venait alors d’ouvrir le paquet sourit et en retira une paire de collants noirs avec les jambes transparente et la culotte renforcée.

 « Maman, ce sont des collants noirs  » ! m’écriais-je.

 « Je sais mon chéri mais c’est tout ce que nous avons. Je sors pendant que tu te changes  ».

Avant que je ne continue á  protester, elle était déjá  sortie.

Je pris les collants. Ils semblaient effectivement assez grand et d’une texture extrá¨mement soyeuse et douce. Je m’assit sur le bord de la baignoire pour m’habiller. Le collant donnait une teinte d’un noir mystérieux á  mes jambes. Lorsque je les eá»s enfilés, je trouvais qu’ils m’allaient parfaitement bien. Et, á  ma grande surprise, j’appréciais le serrage confortable, du á  l’effet ventre gainant. La partie renforcée de la culotte descendait assez bas sur mes cuisses et je me posais la question si ça n’allait pas áªtre gáªnant avec le short. Je saisis alors les habits pour les regarder de plus prá¨s : Le T-shirt jaune était décoré á  l’effigie du girl’s power et le short rose était vraiment taille basse. J’enfilais alors le T-shirt et le short . Le short descendait juste de six centimá¨tres sous mon entrejambes, mettant alors mes jambes gainées de noir et la démarcation de la culotte, en évidence totale. Le bas du t-shirt arrivait juste á  peine á  recouvrir le haut du short. Si je me mettais á  bouger, tout le monde verrait la culotte du collant noir remontant vers ma poitrine. Je me regardais alors dans la glace et fá»t horrifié d’y voir un garçon á  l’air effeminé me faissant face.

Ma má¨re frappa á  la porte :  « Ca y est, t’es habillé  » ?

Je répondais que oui et ma má¨re entra avec un sac poubelle pour y mettre mes habits mouillés. Elle soupira en me voyant puis finit par me sourire :  « Je suis désolée, ce n’est vraiment pas l’idéal mais on ne peut pas faire mieux. Récupá¨re Megan et va attendre dans la voiture. Ok  » ?

Je redescendis vers la cuisine pour récupérer mes sandales, me demandant ce que Megan allait dire en me voyant ainsi váªtu. Je me sentais vraiment ridicule. Madame North était entrain de remettre de la glace dans le baquet contenant les bouteilles d’eau et les canettes de soda, lorsque j’entrais dans la cuisine.

 « Oh ! laissa-t-elle échapper, tout en relevant la táªte et se retenant de pouffer de rire, il semble que tout t’aille bien. Les collants sont á  la bonne taille  » ?

Je fis signe que oui et la remerciais pour les habits.

 « Tu pourras garder les collants. C’est un petit cadeau de ma part. Je suppose que tu ne voudras pas garder le reste. C’est pas vraiment ton style. Mais tu peux si tu veux car ils ne vont pas á  Beth  ».

 « Merci pour la soirée et tout le reste. Maman m’a dit que nous n’allions pas tarder. Je vais juste récupérer Megan  ».

 « Puisque tu sors, je me demandais si tu ne pouvais pas m’aider á  porter ce baquet dehors. Je ne sais pas oá¹ est mon mari  ».

J’acceptais d’aider, comme si j’avais le choix. Moi qui avais espéré sortir discrá¨tement et récupérer Megan sans attirer l’attention. Maintanant j’allais áªtre á  la vue de tous et tout le monde allait voir comment j’étais habillé. Madame North et moi, nous prá®mes chacun une poignée et nous portá¢mes le lourd baquet vers la porte donnant sur l’extérieur.

 « Fais attention aux bords du baquet, me dit-elle, je n’ai pas envie que tu files tes nouveaux collants  ».

Lorsque nous atteigná®mes la porte, Madame North héla sa fille pour nous tenir la porte. Madame North sortit sur le perron. Je vis Beth entrain de me faire une grimace. Sa copine était de l’autre coté de la porte. J’étais comme pris au piá¨ge. Alors que je suivais madame North sur le perron, j’entendis rire les deux filles.

 « Tu n’as vraiment rien de mieux á  faire  » ? dit Megan á  Beth.

Beth ricana :  « Ton précieux petit ami a du changer de váªtements  ».

 « Pourquoi ? Mais de quoi parles-tu  » ?

 « Il a eu un petit accident avec le saladier de punch, dans la cuisine  » rajouta la copine de Beth.

 « Toutes ces fringues étaient trempées. Mais heureusement ma má¨re lui en a trouvé de rechanges  » dit Beth.

 « Et il est si mignon ainsi » ! dit la copine de Beth.

Megan regarda les filles rigolardes en essayant de rester calme.

 « Regardes, il arrive, dit Beth, Petite miss girl’s power  ». les deux filles éclatá¨rent de rire et s’éloigná¨rent pour apprécier á  distance la rencontre entre Jamie et Megan.

Megan regarda dans la direction que montrait Beth. Elle me vit m’approcher d’elle d’un regard triste, dans une tenue ridicule que máªme elle, Megan, dut admettre que ça faisait vraiment mec en fillette. Elle courut vers moi, arrivant á  ma hauteur, sur la pelouse :  « Que s’est-il passé  » ?

 « Viens, dis-je en fuyant son regard, je vais t’expliquer dans la voiture  ».

Megan me suivit dans l’allée de garage. Elle remarqua quelques personnes regardant dans notre direction, et quand elle se retourna avant que l’on ne disparaisse á  l’angle de la maison, elle vit Beth et sa copine qui nous observaient en rigolant victorieusement.

Je ne dis rien jusqu’á  que nous arrivá¢mes á  la voiture et que nous plongeá¢mes sur la banquette. Je répondis alors aux questions de Megan, á  propos de l’accident avec le saladier de punch et les habits que je portais maintenant.

Megan fulminait :  « C’est cette Beth qui l’a renversé sur toi n’est-ce pas  » ?

 « Surement, je lui tournais le dos quand elle est entrée  ».

 « Quelle petite pute. Et je me refuse á  croire que Madame North n’aurait pas pu trouver autre chose. Rose et jaune ?

Mais personne ne porte du rose avec du jaune. Nu, tu aurais moins attiré les regards. Mais pourquoi faut-il que les gens soient si méchants envers toi ? Et pourquoi ta má¨re n’a-t-elle pas insisté pour t’obtenir d’autres habits que cela  »?

 « Je pense qu’elle était juste contente que j’ai quelque chose á  me mettre  ».

 « Ma má¨re n’aurait pas accepté ça  ». Megan me prit dans ses bras :  « Je suis vraiment désolée que ce soit arrivé. J’aurais du venir avec toi pour t’aider  ».

******

Narrateur : Megan se souvint alors pourquoi elle n’était pas venue avec lui.

******

Avec nos bras encore enlacés autour de l’autre, Megan me regarda dans les yeux :  « Tu es un garçon trá¨s doux Jamie, et personne n’a le droit de te traiter ainsi  ».

 « Ca veut dire que nous sommes vraiment amis  ».

Megan se pencha vers moi et déposa un baiser sur mes lá¨vres. Mes yeux s’écarquillá¨rent tandis que je la serrais encore plus fort en lui rendant son baiser. Chacun de nous relevá¢mes la jambe opposée, tant et si bien que nos genoux se touchá¨rent et que le nylon les recouvrant ma jambe frotta sur le nylon gainant la jambe de Megan.

*******
Narrateur : Il était parfois arrivé qu’en s’asseyant sur un canapé ou á  l’arriá¨re d’une voiture, les jambes gainées de nylon de Megan touchent les jambes également gainées de nylon d’une de ses copines mais cette sensation l’avait jusque lá  laissé indifférente. Cette fois ci, c’était différent. Elle n’était pas entrain d’effleurer accidentellement la jambe d’une copine Cette fois c’était les jambes gainées de nylon du garçon qu’elle était entrain d’embrasser. Cette sensation l’excita et l’émerveilla et elle se mit á  frotter langoureusement son genou contre la cuisse de Jamie. Ils restá¨rent enlacés ensemble tandis que leurs lá¨vres s’effleuraient tendrement. Megan constatait la différence entre le fait d’áªtre embrassée par Josh, de maniá¨re insistante et aggressive, et la maniá¨re de Jamie qui semblait totalement retourné par l’expérience. Elle aimait áªtre dans les bras de Jamie, mais une partie d’elle aimait bien aussi l’assurance et la confiance en lui de Josh.
*******
Megan fit courir sa main sur mon dos. Mon T-shirt s’était relevé et alors que la main de Megan s’aventurait vers le bas de mon dos, elle rencontra la culotte de mes collants, qui remontait bien haut dans mon dos, jusqu’á  mes omoplates, et elle me carressa ainsi le dos á  travers cette si douce et si fine et glissante.

*******
Narrateur : megan sourit intérieurement, pensant á  comment elle adorait la sensation du nylon et que Josh, lui ne porterait jamais de collants.
*******

Megan se recula :  « Ta má¨re et ta sÅ“ur vont bientá´t áªtre lá  . Ce ne serait pas vraiment drá´le  ».

 « Je ne pense pas qu’elles s’attendent á  nous trouver entrain de nous embrasser sur la banquette  ».

Nous nous má®mes á  rire nerveusement.

 « Alors, alors, dis-je en bégayant, ça veut vraiment dire que tu es ma petite amie  » ?

 « Je pense que oui  ». Megan baissa les yeux, remarquant la démarcation de mes collants, qui dépassait de mon short.

 « Ton short n’est máªme pas suffisament long pour tes collants  ».

Je me mis á  rire :  « Cette tenue est un total désastre  ».

Megan sentit la matiá¨re fine qui gainait mes cuisses :  « Ce sont vraiment des jolis collants  ».

 « Madame North m’a dit que je pourrais les garder. Je n’aurais jamais cru devoir porter des collants noirs en public  ».

 « Mais cette couleur te va bien. Avec un short assorti, tu serais mignon  ».

 « Tu dis ça pour rire  » !

 « Je suis sérieuse  ».

 « Mais tout le monde va voir que je porte des collants  ».

 « Les collants embellissent tes jambes. Et c’est si agréable. Etre bien, c’est ça le truc. Moi j’aime que les gens remarquent mes jambes  ».

La portiá¨re s’ouvrit alors, tandis que Julie, Samantha et ma má¨re rentraient dans la voiture.

Julie s’affala sur la banquette arriá¨re :  « Tu ressembles á  une enseigne au néon  ».

 « Tant que ça  » ? dis-je.

 « Mais Maman, comment as-tu pu lui laisser porter ça  » ? demanda Julie.

 « Je n’avais pas vraiment le choix  » répondit-elle.

Samantah prit alors la parole :  « Par contre, les collants noirs, ça te va trá¨s bien, mais tu n’aurais pas du les porter avec du jaune, á  moins de vouloir ressembler á  une grosse abeille  ».

 « Beth a-t-elle eu des ennuis pour avoir renversé le punch sur Jamie  » ? demanda Megan.

 « C’est Beth qui te l’as renversé exprá¨s ? demanda Julie. Mais quelle petite salope  » !

 « Je ne sais pas, je lui tournais le dos  ».

 « Tu sais bien qu’elle l’a fait exprá¨s. Et maintenant elle en rigole  » rajouta Megan.

 « On y peut rien les filles, dit ma má¨re en me regardant. Sinon vous vous áªtes bien amusées  » ?

Tout le monde dit que oui.

 « Bon alors, dit ma má¨re, mis á  part l’incident du punch, c’était une sortie réussie  » .

Megan prit ma main et la serra.

*****

Narrateur :  « Il pourrait áªtre vraiment mignon en collant noirs et le short qui va bien  » pensa-t-elle.

*****

Pendant ce temps, chez Megan, Melissa et Carla étaient assises á  la fenáªtre de la chambre de Melissa, attendant le retour de Megan.

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Comments

I truly enjoyed this story......

D. Eden's picture

But once again it ended abruptly. I would love to see what happens next. What happens between Megan and Jamie after Megan's sister sends out her nasty e-mail? Does Jamie's mom keep pushing him more into girl's clothing? Does he stop when school starts back in the fall? What happens between him and his friends? You started developing his relationship with his sister - what happens there?

I hope that the author will pick up the story again and finish it.

Dallas

D. Eden

Dum Vivimus, Vivamus